Ensemble avec veste droite allongée sans découpe ni ajustement arrivant aux hanches, dépourvue de manches, avec un col châle formant un revers de largeur égale tout le long, entrecoupé au niveau de la taille de trois bandes diagonales dont la dernière se consolide dans l'angle d'ouverture devant, poches plaquées arrondies, approfondies par un pli, avec parement contrastant et rehaut supplémentaire par l'ajout d'un gros bouton recouvert alterné ; une ceinture, avec point d'attache au milieu dos par une bride chaînette, entoure la taille et vient se fermer par une croisure à un bouton au devant ; jupe ligne A avec panneau central aplatissant alors que sur les côtés, trois bandes diagonales ascendantes réitère l'alternance des couleurs ; la ceinture montée est froncée par élastique ; le tout est fait de toile bleu ardoise et coton noir embossé à mini carrelage ton sur ton, l'harmonisation des deux se faisant avec prédominance du noir pour la veste et vice versa.

Robe arrivant à la cheville avec corsage ample dont le blousant est formé tout le tour de la taille par des fronces alors qu'à l'épaule, il provient d'un fronçage smocking de deux piqûres, avec manches montées s'évasant au poignet et à la partie extérieure un peu plus longue, mancherons à l'entournure élargie et encolure ronde passepoilée ; la jupe est montée sur bande séparée et vient se juxtaposer au corsage avec la partie centrale formée de plis couchés verticales correspondant aux mêmes dans le corsage ; des pans de Georgette écrue agrémentent les côtés, sont traversés d'un liséré de dentelle beige et à bord festonné, agencement identique par ailleurs à celui du mancheron ; cette robe est confectionnée de crêpe satin ivoire et un biais de même tissu termine l'encolure et le bord de la manche.

Robe complexifiée par l'apport de pièces sous-jacentes, dissimulant et montrant tour à tour la tunique de dessus et la robe de dessous ; le dessus est un couvre-tout dont la taille pincée est accentuée par une martingale de côté, oblique, qui découvre une large emmanchure se terminant au niveau de l'épaule par un plissage et une pièce de guipure noire formant épaulette, laissant dépasser une manche montée longue et étroite, laquelle a des manchettes décoratives à pointe vers l'extérieur, qui fait partie elle, de la pièce dessous à moulage juste, fixée à ladite épaulette, se prolongeant par un col chemisier qui lui, appartient à l'un et à l'autre ; le dessus a une large encolure en V et dans le même esprit les côtés sont ouverts donnant la visibilité aux pièces de dessous ; deux poches ornent cette robe façonnée dans de la gabardine de laine marine, elles sont bordées de guipure agencée et partout un passepoil de satin noir gansé, de même étoffe que le dessous.

Robe très ample avec corsage boutonné devant, dont l'ouverture se poursuit dans la partie jupe jusqu'au niveaux des hanches, sans patte de boutonnages, avec manches chemisier très froncées au poignet et manchettes à un bouton, encolure élargie arrondie avec petit col classique, ivoire et grisonnant, de toile rigide avec une fine texture linéaire ; la partie jupe vient se coudre à une taille abaissée, avec un plissé serré de fronces tout le tour, sauf sur la devanture ; cette robe est confectionnée d'une toile à tissages diversifiés : des fils grisâtres tissés large, des fils rythmés noir et gris et d'autres formant des rayures verticales noires alors que les boutons sont marrons et de grosseur moyenne.

Robe semi-ajustée avec corsage à deux pinces d'ajustement verticales, surpiquées au devant, et libres dans le dos, avec grand empiècement rectangulaire couvrant l'estomac, formé de plis nervurés dont la partie gorge devient modestie et qui, de plus est délimitée par un col double et décalé s'étalant sur la poitrine ; manches trois quart ajustées par deux pinces au coude et se terminant par une manchette à revers de cotonnade blanche, la même que le dessus de col et que le rebord des poches sur la partie jupe ; cousue à la taille réelle, l'ampleur de la jupe est réalisée par des plis plats non pressés et au dos elle est formée de plis creux ; une ceinture décorative à pointe plus large vient se fixer sur les côtés avec effet de martingale ; le tout est fait d'un challis floral lilas et bleu et d'une dentelle festonnée de fils de coton venant orner stratégiquement les pièces.

Robe ample droite dont la tombée est accentuée par la verticalité d'un pli décoratif au niveau de la ligne bretelle au devant ainsi qu'au dos, et qui se poursuit jusqu'à l'ourlet, pli qui est dédoublé, seulement au niveau de l'abdomen, où quatre boutons viennent le fixer ; ouverture devant jusqu'à la hanche, sans patte de boutonnage et avec très petits boutons beiges, encolure ras du cou et petit col Claudine, manches chemisier se terminant avec un large poignet, rappel des boutons et manchettes décoratives en rebras de guipure festonnée écrue en rappel quand à elle, du col ; une ceinture séparée étroite s'attache par deux boutons similaires à ceux de la devanture ; le tout est fait de crêpe de laine chiné noir et blanc à l'apparence de gris mastic.

Robe ample avec taille surbaissée et encolure ronde dégagée à col berthe avec espacement ; la partie corsage est de tombée droite avec ouverture devant tout du long, les manches sont chemisier à gros bouffants surtout au niveau du poignet ; les parties corsage devant et dos sont jalonnées de nervures surpiquées s'éloignant de la médiane dont l'effet plissé est redoublé par le tissu en soi, qui est une cotonnade à carreaux brun et bleu, plissée, elle aussi à intervalles réguliers ; le bas de la robe montée s'ouvre sur deux plis plats de dégagement et une fente d'aisance supplémentaire au dos alors que s'ajoute une ceinture retenue aux latérales par des ganses ; les boutons sont de nacre à reflets bruns et turquoise et le col est agencé, coupé dans du coton chocolat, col sous lequel vient se nouer une cravate molle en boucle de collégienne.