Elles
ne se différenciaient
pas avec les sexes. Depuis
les temps les plus reculés,
c'étaient des
sandales en cuir tressé ou,
souvent pour les prêtres,
en papyrus : la lanière
d'attache passait entre
le premier et le second
orteil et se réunissait
sur le cou de pied à d'autres
liens formant étrier
noués derrière
le talon. On ménageait
d'ailleurs ces sandales
et on les portait le
plus souvent à la
main pour ne les mettre
qu'en arrivant à destination.